Left direction
spot_mono
  Pierre Restany,  Bertini le néo-classique,  ed. Kamer, Parigi, 1957Pierre Restany e Franco ...
1991_-_diurnal
Extrats de "Le Diurnal", 1990 Paris, vendredi 4 novembre 1988 J'ai déjeuné chez des amis. ...
spot_mec
Du pays réel au Mec-art.par Anne Tronche   Bertini. Rétrospective 1948/1984. Cat. Fondation N...
1984_-_parigi_cnap
Gianni Bertini, Le Néo-Classique par Pierre Restany Gianni Bertini est né en 1922 à Pise, sur ...
spot_abbaco
Conversation avec Giulio Argan, 4 décembre 1977 Argan: Je trouve ce travail, portant le titre gé...
bertini-ritratto2
There are no translations available.             da "L'Unità" - sabato 10 luglio 2010 ...
pierre1
There are no translations available.             Salve Gianni, tu mi hai aiutato a vi...
spot_bertini
There are no translations available.                     una conversazione con ...
PICT0027
There are no translations available. GIANNI BERTINI Galleria d'Arte della Città di Žilina, ...
Post-IG copia
There are no translations available.     Gianni Bertini. Identikit 100a cura di Frances...
Right direction
Expositions et évenements PDF Imprimer Envoyer

figuration

Figuration narrative. Paris 1960-1972

Galerie nationales du Grand Palais

16 aprile - 13 luglio 2008



La Figuration narrative n’a jamais été un mouvement proclamé comme tel. Elle est née de l’action du critique d’art Gérald Gassiot-Talabot et des peintres Bernard Rancillac et Hervé Télémaque qui, en juillet 1964, organisent ensemble au Musée d’art moderne de la Ville de Paris l’exposition Mythologies quotidiennes.

Au moment même où le Pop Art triomphe à la Biennale de Venise (avec le Grand Prix de peinture attribué en juin 1964 à Rauschenberg) et s’impose en Europe, l’exposition Mythologies quotidiennes réunit 34 artistes (dont Arroyo, Bertholo, Bertini, Fahlström, Klasen, Monory, Rancillac, Recalcati, Saul, Télémaque, Voss…) qui, comme leurs homologues américains, placent la société contemporaine et ses images au coeur de leurs oeuvres.

Quelques mois plus tard, le Salon de la Jeune Peinture est bouleversé par l’arrivée en force de jeunes peintres (Aillaud, Arroyo, Cueco, Recalcati, Tisserand…) qui se fixent l’objectif de faire à nouveau de l’art un outil de transformation sociale.
Force attractive, la figuration narrative rassemble ainsi au cours des années 60 des peintres venus d’horizons esthétiques ou géographiques différents (tels les premiers nommés mais aussi Adami, Erró, Fromanger, Stämpfli, la Coopérative des Malassis…) qui, travaillant à partir de l’image photographique ou cinématographique, de l’imagerie publicitaire, de la bande dessinée ou même de la peinture classique, aboutissent à des oeuvres qui détournent la signification première de ces représentations pour en révéler des sens inattendus, suggérer d’autres narrations, montrer leurs implications politiques.

Au cours de ces années, la figuration narrative se démarque ainsi de la neutralité sociale de l’Ecole de Paris comme du formalisme du Pop Art américain et dénonce les aliénations de la vie contemporaine.
L’effervescence de la fin des années 60 favorisera d’ailleurs l’engagement des plus militants des peintres de ce mouvement dans la vie politique et, particulièrement, dans les événements de mai 68 à Paris.

Regroupant plus de cent peintures, objets ou films, l’exposition Figuration narrative. Paris, 1960-1972 est conçue comme une exploration des sources du renouveau figuratif qui marque l’histoire de l’art des années soixante à Paris.

Leur rassemblement, que l’on peut considérer comme le plus à même de rappeler l’inventivité de ces années fondatrices, permet de saisir le climat d’apparition de ces oeuvres. Suivant un parcours mettant en valeur les thématiques majeures qui ont inspiré la plupart de ces artistes, l’exposition se divise en sections nettement distinctes :

1) Aux origines de la Figuration narrative (Prémices)
2) L’exposition « Mythologies quotidiennes » (1964)
3) Objets et bandes dessinées
4) L’art du détournement
5) La peinture est un roman noir
6) Une figuration politique.

 

 

 

rev547381

Gianni Bertini Opere su carta anni '50-'60
Laboratorio delle Arti - Piacenza

In mostra al Laboratorio delle Arti una quarantina di opere dell’artista, uno dei protagonisti dell'arte italiana ed europea della seconda metà del XX secolo. Composizioni di immagini e parole, fotografie e segno grafico, per uno dei più begli esempi della Poesia Visiva italiana.

Il Laboratorio delle Arti è lieto di presentare sabato 17 maggio 2008 alle ore 18.00 la mostra “Gianni Bertini – Opere su carta Anni ’50-‘60”.
L’esposizione presenta una quarantina di opere dell’artista, composizioni di immagini e parole, fotografie e segno grafico, per uno dei più begli esempi della Poesia Visiva italiana.

Gianni Bertini e' nato a Pisa nel 1922 ed è sin dall'immediato dopoguerra uno dei protagonisti dell'arte italiana ed europea della seconda metà del XX secolo. Nel 1949 tiene la sua prima mostra a Milano, alla Galleria Salto, prima di trasferirsi, nel 1953 a Parigi. Amico di Pierre Restany, è vicino alle poetiche del Nouveau Realisme ma mantiene sempre la propria indipendenza operativa. Nel 1968 ha una sala personale alla Biennale di Venezia e negli anni immediatamente successivi è tra i fondatori di due riviste storiche della poesia visiva italiana come “Mec” e “Lotta poetica”. Nel 1984 tiene a Parigi una grande retrospettiva al Centre National des Arts plastiques, mentre nel 2004 la Fondazione Mudima di Milano gli dedica “La schiuma del tempo”. Innumerevoli le partecipazioni a mostre collettive, tra cui si ricordano “Mythologies quotidiennes” a Parigi nel 1964, “Le monde en question” ancora a Parigi nel 1967, “Metamorphose de l'objet” in varie sedi museali europee nel 1971, “Fotomedia” a Dortmund nel 1974 e le diverse ricognizioni storiche sulla Pop Art italiana svoltesi dagli anni Ottanta ad oggi.

spazio_colore_immagine_-_palazzoloSpazio, colore, immagine.
Emblemi d’arte contemporanea: da Hartung à Fontana, da Tàpies à Warhol.

8 juin 2009 – 30 juillet 2009
Fondazione Ambrosetti Arte Contemporanea, Palazzolo sull’Oglio (Brescia)